Lors d’un interview avec le porte-parole de la Banque cantonale vaudoise Christian Jacot-Descombes, Tibère Adler discute des défis et des principaux enjeux actuels pour la Suisse. Dans un monde globalisé, il estime que la Suisse pourrait s’améliorer dans deux domaines en particulier: d’une part, notre pays devrait éviter une trop forte réglementation qui risquerait de nuire à son développement. D’autre part, la Suisse devrait chercher davantage d’alliés pour défendre ses intérêts au niveau international.
Le directeur romand d’Avenir Suisse rappelle également que la Suisse doit sa prospérité à son ouverture et à la multiplication des échanges. A cet égard, il met en garde contre le risque d’un repli sur soi qui mènerait à un appauvrissement du pays. Il insiste sur l’importance des relations avec l’Union européenne, en rappelant le soutien d’Avenir Suisse en faveur des Bilatérales. Enfin, il insiste sur l’importance de bonnes conditions-cadres pour le maintien de l’attractivité de la Suisse.
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