Celui qui économise doit subvenir à ses propres besoins en cas de situation nécessitant des soins. Celui qui dilapide son argent n’est pas pénalisé. Notre nouvelle vidéo montre qu’avec un capital-soins obligatoire dès l’âge de 55 ans, les soins aux personnes âgées s’organiseraient de manière individuelle, sans pour autant que les épargnants et les générations futures soient excessivement mis à contribution, comme c’est le cas aujourd’hui.

 

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Illustrations et animation: Sergo Mikirtumov (Bienne), Archill Kukhianidze

 

Vous trouverez davantage d’informations au sujet du «capital-soins» dans l’article «Prévoyance individuelle au lieu de la contrainte de redistribution» (avenir actuel 03/2014) et dans la brochure «Vers un nouvel équilibre entre les générations»  de Jérôme Cosandey.

 

Dans notre nouvelle série de vidéos «Avenir Suisse animé», nous n’intervenons pour une fois pas avec des mots, mais avec des dessins animés, afin de proposer des pistes de réflexion pour le futur de la Suisse. Nous souhaitons transmettre des informations sur des thèmes économiques complexes de manière simple et avec une touche d’humour. Bien entendu, la réalité est la plupart du temps plus complexe que des animations dessinées par un artiste. Mais, la simplification a également pour avantage d’obliger à se limiter à l’essentiel : Où réside exactement le problème ? Quelle est notre solution pour y remédier ?