Podcast avec Pascal Broulis, Conseiller aux Etats (PLR), Xavier Oberson, avocat, professeur de droit fiscal suisse et international à l’Université de Genève, et Diego Taboada, Directeur romand ad interim d'Avenir Suisse.
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Diego Taboada
L’impôt peut-il être heureux?
Podcast avec Pascal Broulis, Conseiller aux Etats (PLR), Xavier Oberson, avocat, professeur de droit fiscal suisse et international à l’Université de Genève, et Diego Taboada, Directeur romand ad interim d'Avenir Suisse.
Quelles sont les caractéristiques d’un bon impôt ? L’impôt sur les successions est-il un bon outil ? Faut-il taxer l’intelligence artificielle ?
Voitures automatisées: juste le droit de se gratter
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Podcast avec Anna Laura Ludwig (au centre), Associate Fellow à Avenir Suisse, Laurent Pignot (à droite), Vice-directeur et responsable de la communication du TCS, et Jérôme Cosandey, Directeur romand d’Avenir Suisse.
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Jérôme Cosandey
Voitures automatisées: juste le droit de se gratter
PodcastsPodcast avec Anna Laura Ludwig (au centre), Associate Fellow à Avenir Suisse, Laurent Pignot (à droite), Vice-directeur et responsable de la communication du TCS, et Jérôme Cosandey, Directeur romand d’Avenir Suisse.
Dans quels domaines la réalité dépasse déjà la fiction ? Quelles sont les conséquences pour les automobilistes lors de l’achat ou de la conduite d’un véhicule ? La Suisse est-elle prête pour accompagner ce changement technologique ?
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La Conseillère fédérale s'exprime sur une Suisse à 9 millions d’habitants, les contrôles aux frontières et le respect des lois suisses d’asile
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Jérôme Cosandey
ThinkCast avec Elisabeth Baume-Schneider
PodcastsLa Conseillère fédérale s'exprime sur une Suisse à 9 millions d’habitants, les contrôles aux frontières et le respect des lois suisses d’asile
La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider répond dans ce podcast à trois questions de Jérôme Cosandey.
«En 1971, les femmes votaient plus à droite que les hommes»
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Podcast avec (de droite à gauche) Pascal Sciarini, Professeur à l'Unige et titulaire de la chaire de politique suisse et comparée, et Anke Tresch, Professeure à l'Institut d'études politiques de l'Unil et Jérôme Cosandey (Avenir Suisse)
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Jérôme Cosandey
«En 1971, les femmes votaient plus à droite que les hommes»
PodcastsPodcast avec (de droite à gauche) Pascal Sciarini, Professeur à l'Unige et titulaire de la chaire de politique suisse et comparée, et Anke Tresch, Professeure à l'Institut d'études politiques de l'Unil et Jérôme Cosandey (Avenir Suisse)
La démocratie directe suisse, si souvent admirée, est-elle en train de s’assoupir ? Notre système électoral est-il garant de stabilité ou souffre-t-il d’immobilisme ? La féminisation, les mouvements citoyens et le vieillissement de la population vont-ils transformer le paysage partisan ?
«On n’assure pas la stabilité des prix sans indépendance»
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Entretien avec Andréa M. Maechler, membre de la Direction générale de la BNS, et Juan Flores, Professeur d'histoire économique
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Jérôme Cosandey
«On n’assure pas la stabilité des prix sans indépendance»
PodcastsEntretien avec Andréa M. Maechler, membre de la Direction générale de la BNS, et Juan Flores, Professeur d'histoire économique
Alors qu’on n’en parlait plus depuis des années, l’inflation fait sa réapparition sur les marchés et amène son lot d’incertitudes. Dans notre société, individus et entreprises ont besoin de confiance dans la stabilité de la monnaie. D’un côté, les consommateurs veulent être sûrs de la stabilité des prix, et de l’autre, les entreprises ont besoin de la stabilité des taux de change, notamment pour les ventes et achats à l’étranger. La BNS (Banque nationale suisse) joue un rôle crucial pour établir une relation de confiance, mais elle a également besoin de celle de la société, de l’économie et de la sphère politique pour garantir son indépendance.
Quelles sont les conditions nécessaires pour que cette relation de confiance perdure ? L’autonomie dont jouit la BNS pour remplir son mandat est-elle menacée ? Que nous enseigne l’histoire des banques centrales, en Suisse et dans le reste du monde ?
Nous avons convié pour ce podcast deux invités, Andréa M. Maechler, membre de la Direction générale de la BNS. Depuis 2015, elle est responsable du 3e département de cette dernière (marchés financiers, gestion des réserves, opérations bancaires et informatique), et Juan Flores, Professeur à l’UNIGE au département d’histoire, économie et société. Il est notamment l’auteur de nombreux ouvrages au sujet de la dette souveraine et du rôle des intermédiaires financiers dans les crises bancaires et monétaires.
Andréa M. Maechler insiste notamment sur le fait que la stabilité des prix est un bien public essentiel. Celle-ci permet la création d’un contexte de prévisibilité, de stabilité, et donc de confiance. Elle explique également pourquoi l’indépendance est une prérogative essentielle pour que la BNS puisse remplir son mandat. Pour Juan Flores, la confiance dans les banques centrales est une valeur qui se construit sur le long terme. Le rôle de ces institutions a évolué au cours du siècle dernier. La stabilité actuelle en Suisse n’est ni le fruit du hasard, ni un acquis.