Chaque année, plus de 3000 personnes originaires d’Etats tiers (Etats hors UE/AELE) obtiennent un diplôme universitaire en Suisse. Parallèlement, seules quelques centaines de permis de travail sont délivrées chaque année à des diplômés d’États tiers : moins de 15 % d’entre eux devraient entrer sur le marché du travail suisse. Un potentiel inutilisé que la Suisse devrait mieux exploiter alors que nous connaissons une pénurie de main-d’œuvre qualifiée.
Le chiffre