Dans la lutte pour la répartition des recettes issues de l’impôt minimal de l’OCDE pour les multinationales, la politique surestime actuellement le potentiel de bénéfices, car les effets d’adaptation à moyen terme ne sont pas pris en compte. Cela revient à supposer l’hypothèse irréaliste que les changements de comportement des entreprises à long terme varient de 0 %.
Le chiffre